Artículo
We examined the effects of façade-level building and vegetation features on bird-window collision risk, and how these effects varied across seasons at a Pacific coastal campus with mild winters, abundant evergreen vegetation, and seasonally varied bird communities. We searched for bird carcasses at 57 façades of 8 buildings at the University of British Columbia (UBC) over 155 days between January 2015 and March 2017 (total: 8835 façade surveys). Collision monitoring occurred across five equal sampling periods that represented stages of the annual cycle of the bird community, including the fall and spring migratory periods, the breeding season, and the long overwintering period. For each season, we compared logistic regression models predicting the odds of a collision from different sets of façade and vegetation characteristics expected to influence collisions: façade area, area of glass, porous surface cover (ground and shrub vegetation, soil, leaf litter), tree cover, and the number of building stories reflecting vegetation. Consistent with other studies, area of glass had a positive influence on collision probability in all seasons; however, the effect was strongest during the fall migratory period, when daily collision mortality rates peaked at UBC. The number of stories reflecting vegetation also increased collision probability, but only in the fall, indicating that the vertical extent of vegetation and reflective glass may affect collision risk differently as bird communities change across seasons. Façade area increased collision probability only in the winter (a long and lethalperiod for bird collisions at UBC), reflecting different risk factors associated with the species most vulnerable to collisions in this season. Our results highlight the need to measure building and vegetation effects across the longest and most lethal stages of the annual cycle of birds, both to predict the impact of proposed buildings and to prioritize mitigation strategies that will result in the greatest conservation benefits. Nous avons examiné les effets des caractéristiques des façades de bâtiments et de la végétation sur le risque de collision des oiseaux avec les fenêtres, et comment ces effets variaient selon les saisons sur un campus de la côte Pacifique aux hivers doux, à végétation abondante de feuillage persistant et aux communautés d’oiseaux variant de façon saisonnière. Nous avons cherché des carcasses d’oiseaux au pied de 57 façades de 8 bâtiments de l’Université de Colombie-Britannique (UBC) pendant 155 jours entre janvier 2015 et mars 2017 (total : 8835 relevés de façades). Le suivi des collisions s’est déroulé sur cinq périodes d’échantillonnage égales qui représentaient des étapes du cycle annuel de la communauté d’oiseaux, y compris les périodes de migration d’automne et de printemps, la saison de nidification et la longue période d’hivernage. Pour chaque saison, nous avons comparé des modèles de régression logistique prédisant la probabilité d’une collision à partir de différents ensembles de caractéristiques des façades et de la végétation censées influer sur les collisions : la surface de la façade, la surface vitrée, le type de couvert des surfaces poreuses (végétation au sol et arbustive, sol, litière), le couvert arborescent et le nombre d’étages du bâtiment reflétant la végétation. En conformité avec d’autres études, la surface vitrée a eu un effet positif sur la probabilité de collision à toutes les saisons; cependant, l’effet a été le plus important pendant la période de migration d’automne, lorsque le taux quotidien de mortalité par collision a atteint son maximum à l’UBC. Le nombre d’étages reflétant la végétation a également concouru à augmenter la probabilité de collision, mais seulement en automne, résultat qui indique que l’étendue verticale de la végétation et du verre réfléchissant peut affecter différemment le risque de collision lorsque les communautés d’oiseaux changent d’une saison à l’autre. La surface de la façade n’a augmenté la probabilité de collision qu’en hiver (une période longue et mortelle pour les oiseaux à l’UBC), reflétant différents facteurs de risque associés aux espèces les plus vulnérables aux collisions à cette saison. Nos résultats soulignent la nécessité de mesurer les effets des bâtiments et de la végétation au cours des stades les plus longs et les plus mortels du cycle annuel des oiseaux, à la fois pour prévoir l’impact des futurs bâtiments et hiérarchiser les stratégies d’atténuation qui se traduiront par les plus grands avantages possibles en termes de conservation.
Seasonal variation in drivers of bird-window collisions on the west coast of British Columbia, Canada
Título:
Variation saisonnière de facteurs de collision oiseaux-fenêtres sur la côte ouest de la Colombie-Britannique, Canada
Zulian, Viviane; Norris, Andrea R.; Cockle, Kristina Louise
; Porter, Alison N.; Do, Lauryn G.; De Groot, Krista L.

Fecha de publicación:
09/2023
Editorial:
Resilience Alliance
Revista:
Avian Conservation and Ecology
ISSN:
1712-6568
Idioma:
Inglés
Tipo de recurso:
Artículo publicado
Clasificación temática:
Resumen
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Citación
Zulian, Viviane; Norris, Andrea R.; Cockle, Kristina Louise; Porter, Alison N.; Do, Lauryn G.; et al.; Seasonal variation in drivers of bird-window collisions on the west coast of British Columbia, Canada; Resilience Alliance; Avian Conservation and Ecology; 18; 2; 9-2023; 1-24
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